Phalaenopsis equestris
syn. Phalaenopsis rosea

Phalaenopsis equestris


Décrit en 1843 par Schauer sous le nom Stauroglottis equestris et
transféré dans le genre Phalaenopsis en 1849 par Reichenbach

Origine : Philippines, Taiwan

Altitude : du niveau de la mer à 300 m, dans des vallées chaudes et humides

Plante de petite taille

Phalaenopsis equestris (localisation)

Phalaenopsis equestris (plante)



Première floraison :

Elle a débuté en avril 2007 avec trois hampes. Les fleurs se succèdent sur des hampes qui ne cessent de pousser.

Phalaenopsis equestris (fleur) Phalaenopsis equestris (fleur) Phalaenopsis equestris (fleur) Phalaenopsis equestris (fleur)

Phalaenopsis equestris (gousse) Phalaenopsis equestris (fleur) Phalaenopsis equestris (fleur) Phalaenopsis equestris (gousse)


Les keikis

Un keiki (signifie "bébé" en hawaïen) est une sorte de marcotte spontanée. Sur chaque nœud, la hampe peut donner un keiki ou une fleur.

Fin juillet la première hampe se termine en keiki. Mi-octobre, la seconde hampe forme aussi un keiki.

Lorsque le keiki est assez grand il peut être détaché du plant mère. Ce stade survient lorsqu'il respecte la règle des trois 3 : il doit avoir au moins 3 feuilles, au moins 3 racines d'au moins 3cm.

Phalaenopsis equestris (keiki) Phalaenopsis equestris (keiki) Phalaenopsis equestris (keiki)


Premier keiki

J'ai détaché le premier keiki début janvier 2008 pour le monter sur soucoupe (selon la méthode de David Jubineau). Et surprise ! Le keiki avait déjà une petite hampe en formation que l'on voit bien sur la deuxième photo. Cette future floraison risque d'être compromise par la séparation. Affaire à suivre...

Phalaenopsis equestris (keiki) Phalaenopsis equestris (keiki)

Phalaenopsis equestris (plante) Phalaenopsis equestris (plante)



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Édith N. © Janvier 2008